Sur un article paru dans Le Devoir de janvier 1892 au sujet des positions de l'Union lombarde. Doit refuser une proposition de soutien financier de Moneta et explique que ses ressources financières ne lui permettent pas d'aider les causes défendues par Godin (paix, féminisme, mouvement ouvrier, etc.). Sur l'administration et l'édition du Devoir, la gestion de la Société du Familistère de Guise et la Société de paix du Familistère dont Marie Moret est membre.