Godin accuse réception de la lettre de Fabre du 7 août 1879. Il lui annonce qu'il attend l'arrivée à Guise de Pascaly le 1er septembre suivant. Sur le journal Le Devoir : « Nous savons bien que les journaux américains contiennent beaucoup de choses que nous pourrions traduire, mais vous ne savez pas combien d'autres choses nous avons à faire, et les jours ne sont pas plus longs pour nous que pour les autres. » Il se plaint de manquer « d'hommes ayant l'amour de ce qui est à faire ».