Sur la liquidation de la Société de colonisation européo-américaine du Texas. Les observations de Godin sur la liquidation de la société sont ignorées par Cantagrel ; il veut l'entretenir de ses intérêts personnels dans l'affaire car Cantagrel aborde la question en tant qu'acquéreur de la société. Godin rappelle qu'il est actionnaire pour 63 225 F (1 355 $ d'actions à primes et 11 290 $ d'actions à dividendes) et qu'il consent à céder ses actions à prime pour la moitié de leur valeur. Mais il ne veut pas en plus « fermer les yeux sur le prix de la vente » des terres de la société au Texas. Godin juge que Cantagrel n'est pas dans l'obligation d'acquérir et de subir une augmentation du prix d'achat alors que lui ne peut échapper aux effets d'un prix de vente trop bas. Il annonce qu'il ne cèdera pas les droits qui lui restent à moins de 14 000 F.