Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 21 décembre 1900. Elle lui adresse par colis postal les années 1896, 1897 et 1898 du journal Le Devoir. Elle précise que les numéros de l'année 1896 et celui de janvier 1897 du journal comprennent le récit de la tentative par Godin de la représentation du travail par le suffrage, que certains numéros de 1897 sont défraîchis et qu'avec le numéro de mai 1898 commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis, 1840 à 1852 », qui se termine en 1899, année que possède déjà la bibliothèque de l'Université de Leipzig. Elle lui annonce qu'elle lui enverra quelques ouvrages à son retour au Familistère de Guise, et lui confirme que Le Devoir lui est servi régulièrement.

Marie Moret adresse à son correspondant l'année 1898 du journal Le Devoir. Elle précise qu'avec le numéro de mai 1898 commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis, 1840 à 1852 », qui fait partie des « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin ». Elle lui annonce qu'elle lui enverra quelques ouvrages à son retour au Familistère de Guise, et lui confirme que le « Le Devoir » lui est servi régulièrement.

Marie Moret accuse réception de la lettre de Jules Lavalée du 7 mai 1901. Elle lui envoie en colis postal une série d'ouvrage qu'elle propose de compléter à son retour au Familistère, et lui souhaite le succès dans son entreprise

Marie Moret remercie Colin pour sa lettre du 9 mai 1901 qui lui communique des informations sur la fête du Travail et sur la collection du Devoir [de la bibliothèque du Familistère]. Marie Moret compte sur Colin pour interdire le prêt des volumes du Devoir de la bibliothèque du Familistère, elle affirme que les collections complètes sont rares, signale que l'Académie des sciences de Berlin lui en réclame une, et qu'elle pense qu'il vaut mieux ne pas déparer la collection complète de monsieur Caudron et trouver le volume égaré du journal dans une collection incomplète. Elle se refuse à croire que ce volume est définitivement perdu ; elle demande quel usage est fait du numéro du journal servi gratuitement chaque mois à la Société du Familistère à Guise et à Schaerbeek et s'il n'est pas possible de reconstituer une année avec lui.