Réponse tardive à la lettre de Lucy Latter datée du 25 août 1895 : « Je n'ai que la matinée à donner au travail ; si j'écris l'après-midi, l'insomnie me prend. Or, le temps me suffit à peine dans ces conditions pour suivre mon travail du "Devoir". Ce qui m'oblige – bien malgré moi – à laisser en retard ma correspondance ». Vœux de bonne année à Lucy Latter et aux sœurs Pagliardini, en réponse à ceux reçus ce matin. Sur le travail de Lucy Latter : remplacement d'un ou d'une collègue à Londres.