Sur les prétentions des héritiers de Godin à l'égard de la Société du Familistère. Godin communique à Tisserant l'état actuel de sa fortune qui s'élève à 6 400 000 F, dont la moitié pourrait revenir à ses héritiers. Godin demande à Tisserant si son fils ne pourrait pas en outre intenter un procès en dissolution de la société. Godin fait valoir qu'avec l'emprunt hypothécaire, la Société lui rembourserait ses apports et ses épargnes et ne laisserait plus de parts sociales entre les mains de ses héritiers ; la Société du Familistère serait ainsi préservée de leurs revendications. Il demande à Tisserant à quelle heure lui et sa fille arriveront à Guise le 25 octobre 1885.