Marie Moret remercie Juliette Cros pour la nouvelle caisse de pêches, arrivées en parfait état. Elle indique à Juliette Cros que la famille Moret-Dallet s'apprête à déguster la courge envoyée par Auguste Fabre et arrivée trois jours auparavant, au moment où madame Louis avait justement fait provision de courges du pays. Elle souhaite que le temps soit aussi superbe à Castelsarrasin et à Nîmes qu'il l'est à Guise. Elle attend une lettre d'Auguste Fabre à propos de clichés se trouvant à Nîmes. Elle a bien reçu les lettres de Juliette Cros et de Fabre expédiées de Castelsarrasin les 15 et 17 septembre 1900, et elle évoque le travail fait sur des chaises par Auguste Fabre et Antoine Médéric Cros. Elle signale à Juliette Cros que le numéro d'octobre du journal Le Devoir contient le compte rendu de la fête de l'Enfance [à laquelle cette dernière a assisté]. Elle l'informe qu'elle n'a encore rien lu d'intéressant à lui communiquer sur le Congrès de psychologie. Le texte manuscrit au crayon bleu sous la signature de la copie de la lettre est un post-scriptum par lequel Marie Moret remercie Juliette Cros pour un nouvel envoi de pêches arrivé après qu'elle ait achevé sa lettre et lui signale que les fruits murissent rapidement.