Sur la correction d'épreuves d'un ouvrage de Godin : Godin a constaté un nombre considérable de « lettres manquées » et il considère que ce n'est pas à lui de les signaler dans sa correction mais au typographe d'en faire son affaire ; il fait remarquer à Poupin que des fautes de ce genre subsistent dans le premier ouvrage publié. Contrairement à ce que Wladimir Gagneur a dit à Poupin, Godin n'est pas opposé à ce que la mise en vente du volume soit retardée mais il veut disposer d'exemplaires pour les distribuer à des visiteurs américains. Il informe Poupin qu'il remettra le lendemain à Gagneur la somme de 433,40 F. Il demande combien d'exemplaire du premier ouvrage ont été vendus.