Sur l'achat d'une prairie à Guise. Godin répond à une lettre de Guérin du 28 février 1858 relative au prix de vente du terrain qu'il possède à Guise près de l'usine des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin rappelle à Guérin que dans les négociations antérieures, le terrain réputé contenir 5 hectares et demi avait été proposé à 42 000 F, soit 7 600 F l'hectare, un prix excessif. La superficie réelle du terrain étant de 4 hectares 98 ares, près d'un hectare ayant déjà été vendu, Godin propose une somme de 35 000 F, soit près de 10 000 F au-dessus de sa valeur vénale.