Godin indique à Brullé que la solution qu'un banquier soit sa caution [dans l'affaire Cador] présente des difficultés. Il pense que si Cador pouvait se contenter d'une simple lettre de monsieur Adan en attendant qu'il ait obtenu de Wafflaer les pièces nécessaires, cela vaudrait mieux que de déposer une somme à la Caisse des consignations. Sur les écritures comptables des opérations de l'usine de Forest.