Godin accuse réception de la lettre de Guyard du 9 décembre 1864 qui lui communiquait ses Lettres aux gens de Frotey sur une commune modèle. Il félicite et encourage Guyard pour la tâche laborieuse et difficile qu'il a entreprise, « dans laquelle l'amour du bien doit être constamment au niveau du savoir-faire exigé par des causes permanentes de dissolution du bien accompli ». Il lui adresse une souscription de 10 F pour les Lettres déjà parues.