Marie Moret remercie Henri Buridant pour sa lettre du 3 janvier 1900 et pour ses vœux de nouvelle année. Elle lui transmet les vœux de la famille Moret-Dallet et ceux d'Auguste Fabre. Elle lui confirme que c'est elle qui a envoyé à sa fille Marie le livre Ma sœur Thérèse. Elle lui retourne un mandat de 10 F de madame Dubos-Foy pour son réabonnement au Devoir ; elle lui demande d'envoyer un exemplaire du numéro de novembre 1899 à monsieur P.-L. Charlier et de cesser d'envoyer Le Devoir à La Gazette des assurances de Bruxelles. Elle donne des nouvelles météorologiques : de la neige « comme nous n'en avions pas encore vu » est tombée la veille à Nîmes. Dans le post-scriptum, elle demande à Buridant de lui communiquer son compte chez lui au 31 décembre 1900.