Godin informe l'inspecteur que la directrice de l'asile du Familistère, madame Dirson, prend pour monitrices dans l'application de la méthode phonomimique sa jeune adjointe Marie Défontaine et quatre jeunes filles de 10 à 12 ans prises dans la première classe des écoles. Il explique que les enfants sont initiés à la lecture par la méthode phonomimique combinée avec celle de Marie Pape-Carpantier et qu'ils abandonnent la méthode Grosselin dès qu'ils savent lire couramment. Il précise qu'il n'y a jamais eu d'enfant muet au Familistère mais que la méthode phonomimique a été jugée la plus efficace et la plus agréable pour les élèves. Il ajoute que les mêmes questions lui ont été posées dans un formulaire qu'il a retourné au député Villain.