Godin adresse à Léon Magnier le compte-rendu d'une fête qui s'est tenue à Guise le 4 mai 1848 afin qu'il soit publié dans le journal de celui-ci [Le Courrier]. Il lui signale qu'il en a envoyé une copie à Calixte Souplet ; il lui demande si l'article dépasse les limites d'une insertion gratuite et se dit prêt à payer dans le cas contraire « car les scandales que l'on a versés sur les phalanstériens ont besoin d'une réhabilitation ». Il prie Magnier de demander au Guetteur s'il devra quelque chose pour l'insertion.