Godin communique à Delaruelle le montant définitif des remises de fin d'année : il lui demande de diffuser l'information auprès de tous les voyageurs ; il l'engage à signer ses lettres en qualité d'agent commercial et à les faire contresigner par son fils Émile. Il l'informe qu'il a écrit à Horst de Milan pour lui demander quelles sont les conditions des affaires en Italie, mais qu'il sait que des maisons françaises proposent à celui-ci 4 % sur les placements qu'il fait lui-même et 1 % sur les demandes faites directement à l'usine avec 10 % de participation aux pertes. Sur la fabrication des buanderies. Il l'invite à faire des affaires avec les commissaires pour l'exportation en précisant qu'il faut se considérer délivré des engagements avec Gustave Leroy. Il lui demande enfin de supporter avec patience et bienveillance les tracasseries qui lui sont faites à l'usine.