Godin accepte le concours que lui propose Colfavru en faveur de l'hérédité de l'État. Il lui indique que le projet de loi déposé le 26 juin 1884 par Giard, Henri Maret, Laguerre et Tony Révillon pour l'établissement de la mutualité nationale par l'hérédité de l'État s'inspire de son livre Le gouvernement et de la pétition publiée sous le titre Mutualité nationale contre la misère avec l'aide des ressources de l'hérédité de l'État. Il plaide pour imposer l'idée de l'hérédité de l'État à la Chambre des députés. Dans le post-scriptum, il lui demande s'il a reçu les numéros du traitant des impôts et de l'hérédité de l'État.