Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin remercie Pagliardini de s'être occupé de la lettre à Samuel Wilkes. Il lui précise que son fils avait obtenu l'adresse de Wilkes auprès de messieurs Carpmail et Cie, agents de patentes, au 24, Southampton Buildings à Londres, qui pensaient que la fabrique de Wilkes avait changé de propriétaire. Godin voudrait savoir si la fabrique a produit des boutons de serrure et des poignées de porte en fonte creuse selon les procédés patentés de Wilkes et souhaite obtenir des déclarations authentiques à ce sujet. Il demande à Pagliardini s'il veut bien s'en occuper en se concertant avec les agents de patentes.