Marie Moret remercie Henri Buridant pour sa lettre du 5 avril 1901 et l'envoi de documents, dont Les idées du coopérateur Cohadon. Elle lui demande de refuser la revue L'Humanité. Elle l'informe qu'elle a envoyé la moitié de ses contributions au percepteur de Guise. Elle l'informe qu'elle écrit à monsieur Pardoux pour lui dire que le journal Le Devoir est servi régulièrement à la bibliothèque de Clermont-Ferrand, où il peut le consulter, et demande à Buridant d'effacer Pardoux du registre des abonné·es au Devoir. Elle traite des comptes du Devoir. Elle indique à Buridant que la fille et le gendre d'Auguste Fabre sont actuellement auprès de lui à Nîmes, et qu'il fait beau sans chaleur excessive. Dans le post-scriptum, elle remercie Buridant pour les nouvelles de la « pauvre famille Maréchal », et lui signale la nouvelle adresse de monsieur Cros, professeur de physique à Castelsarrasin.