Godin demande à Hourdequin de lui envoyer deux numéros du Conservateur de l'Aisne dans lesquels il a pensé qu'il était désigné. Godin lui apprend qu'un troisième numéro de journal, plus vif que les précédents, a paru vers le 29 septembre 1878, et il lui demande de le lui procurer également. Il souhaite connaître l'auteur des articles ; il pense qu'un de ses employés y est pour quelque chose.