Godin rappelle à Gagneur qu'il avait envisagé de venir visiter le Familistère pendant les vacances de la Chambre des députés. Godin renouvelle son invitation à séjourner au Familistère auprès de lui et de Marie-Louise Gagneur. Il fait valoir que si celle-ci devait rédiger un roman socialiste, il lui faudrait voir le Familistère ; il suggère que le séjour de Marie-Louise Gagneur pourrait commencer avec la fête du Travail du Familistère qui a lieu le dimanche suivant. Il loue Le Roman d'un prêtre, le seul qu'il ait pu lire en entier depuis plus de vingt ans et souhaite qu'elle mette son talent au service de la cause sociale.