Sur une lettre anonyme. Godin indique au juge de paix qu'il pourra réunir le lendemain les délégués des ouvriers dans la salle du conseil de l'usine pour qu'il les entretienne d'une lettre anonyme. Il l'incite à les interroger pour découvrir les auteurs de la manœuvre, « vu, surtout, le récent incendie qui a eu lieu à l'usine ».