[Paris], Jeudi 16 février 1837, Dorothée de Lieven à François Guizot
Auteurs : Benckendorf, Dorothée de (1785?-1857)
Relations entre les lettres
Ce document n'a pas de relation indiquée avec un autre document du projet.
Présentation
Date1837-02-16
GenreCorrespondance
Editeur de la ficheMarie Dupond & Association François Guizot, projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)
IncipitCe n’est que dans cet instant, Monsieur, que j’apprends l’affreux malheur qui vous a frappé. Parmi tous les témoignages de sympathie que vous allez recevoir au milieu d’une si grande infortune, me pardonnerez-vous la vanité de croire que mon souvenir sera quelque chose pour vous ?
PublicationLettres de François Guizot et de la princesse de Lieven (1836-1846), préface de Jean Schlumberger, Paris, Mercure de France, 1963-1964, vol. 1, n° 3/3-4
Information générales
LangueFrançais
Cote
Cette lettre ne se trouve pas parmi les lettres originales conservées et classées par Guizot. Les éditeurs de l’éd. de 1963, la donne "Telle qu’elle est citée par lui dans son essai biographique sur la Princesse de Lieven, recueilli dans son volume Mélanges Biographiques et Littéraires, Michel-Levy, Paris, 1868, pp. 209-210.
Nature du documentTranscription de Guizot.
SupportImprimé
Etat général du documentBon