Espace Afrique-Caraïbe

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Collection : Manuscrits de Jean-Joseph Rabearivelo

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES Sur trois cordes 1925-11-15.jpg
Publication de "Sur trois cordes" dans le journal mauricien L'Essor.

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
4-YE-478.pdf
Édition de 1927, Imprimerie de l'Imerina.

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN Masque Bijou Gauguin Fuite 1.jpg
Poèmes :
I. "Quoi te finir avec des masques" 
II. "Le charme inattendu d'un bijou rose et noir"
III. "Ô pour quel Gauguin"
IV. "Fierté rapide et décevante"

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 MATUTINALES.jpg
Ces vers tendent à exprimer l'état de fièvre, poétique dirions-nous, car le corps, chétif, l'enveloppe corporelle amenuisée, la réceptivité sensorielle est accrue. Jean-Joseph Rabearivelo regrette sa convalescence ayant été l'égérie des premiers poèmes de Galets ; or, il ne retrouve plus cette "fièvre âpre de matutinal" sans laquelle il ne saurait poursuivre le recueil. Il s'interroge, dans les Calepins Bleus, sur les rapports de la maladie avec l'écriture.

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : L'historien
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Tableau 1.jpg
Sur la première page calligraphiée en page de titre, le nom de "Jean-Joseph Rabearivelo" qui ne sera officiellement le sien qu'en 1931 et ne s'imposera systématiquement dans ses écrits que plus tard (même s'il signe déjà ainsi quelques textes et son recueil La Coupe de Cendres) vient remplacer celui de J. Rabearivelo qui clôturait initialement le document. Plus encore, la même plume vient barrer les sous-titres initiaux, laissant imaginer d'autres livres et hésitant à affirmer le caractère historique du texte, inscrit les dates puis les barre. L'élan premier était en effet d'établir une trilogie : après une analyse de la constitution d'une "âme", l'étude des interférences (qui inspirera son second roman historique, après L'Aube rouge, soit L'Interférence, achevé le 1er juin 1929) que subit et auxquelles résiste la "race hova", le troisième volet, qui ne verra jamais le jour, devait parler, selon Tableau, de la "tranche vivante arrachée à l'arbre et transplantée en Amérique", soit l'histoire des esclaves malgaches.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO MAN1 Tafavory.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV FB Tagore.pdf

Mots-clés : , ,

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : L'historien
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU EDIT TANA Quartiers 1.jpg

écrit sans doute sur commande des Dussol, de l’Imprimerie de l’Imerina. C’est un opus de 98 pages, dont 50 exemplaires sont imprimés sur papier pur fil lafuma, rédigé en collaboration avec Eugène Baudin et illustré de bois gravés d’Ève-Pierre Fonterme, dont Rabearivelo laisse d’ailleurs dans son journal un fulgurant portrait (« un fil d’argent – toute en guèpe, mais à miel. Un regard d’oiseau de proie capturé[i] »). Rabearivelo y vante le Madagascar colonial de Léon Cayla. L’ouvrage se termine sur une liste des nouveaux noms de rues construites par la France.

[i] 29/10/1936.

Collection : Vakio ity
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO REV VI LETTRES 1.jpg
Dans ces premiers essais, il sacrifie à la mode du temps, celle des "lettres ouvertes". Ce genre, aux frontières des sphères déchange privée et publique, fut le mode de communication privilégié de la génération des années 1920. Les articles de Vakio ity ont tous été écrits sur ce modèle. JJR adopte du genre toutes les affèteries. En premier lieu, les pseudonymes sous forme d'anagrammes ou de surnoms hauts en couleur et en assonances: Aéro-Drémina, Atmosphère, K. Verbal, etc. Il ne nous a d'ailleurs pas toujours été possible de retrouver derrière ces "masques" l'identité des écrivains engagés dans ces joutes épistolaires.
A travers ce ton de "maître d'école" que JJR et ses correspondants fictifs adoptent dans les développements didactiques de leurs missives, dans ce que l'on peut considérer comme le "premier jet" de son oeuvre critique, se dessinent déjà nettement quelques idées forces de sa rélfexion: le questionnement sur le bon usage des techniques venues d'ailleurs et l'incitation à plus de professionalisme.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Toetsaina fitiavam-boky 1.jpg

Mots-clés :

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV TH Tononkira 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM TRAD MAN1 Traductions 2 1.jpg
Les pièces de l'entreprise de traduction en malgache de Paul Valéry : des fragments du " Cimetière marin ", des poèmes extraits du recueil Charmes..

Collection : Traduit de la nuit
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
fullsizeoutput_72.jpeg
Exemplaire ayant appartenu à Léon Cayla, communiqué à Claire Riffard par sa petite-fille, Élisabeth Matak. Qu'elle en soit ici remerciée.

Collection : Traduit de la nuit
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Traduit de la nuit 1935.pdf

Traduit de la Nuit est sans doute l’ensemble poétique où Jean-Joseph Rabearivelo atteint au plus personnel de son chant. Le recueil est constitué de trente poèmes en deux langues, écrits en vers libres, souvent très courts, et composés dans la continuité immédiate de Presque-Songes qui les précède sur le cahier manuscrit. Trente poèmes évoquant le passage de la nuit au jour, et du jour à la nuit, au moyen d’images inoubliables et inexplicables.
Jean-Joseph Rabearivelo offre pourtant de guider son lecteur, dès l’adresse liminaire à Fagus, M. Ormoy et R.-J. Allain : « Interrogateurs désormais d’une nuit qui ne peut se traduire que par l’étonnement et l’angoisse de notre douleur » ; au sein des poèmes du recueil, il convoque plusieurs grandes figures lyriques, compagnons d’inspiration : explicitement Tagore, Jammes, Withman (TN15), mais aussi, entre les lignes, Virgile, Baudelaire, Mallarmé… Plus tard, en 1936, Jean-Joseph Rabearivelo rapprochera cette écriture de celle de Blake et de Novalis (Carnets Bleus, 20/5/34, tome I, p. 507). Mais Traduit de la Nuit n’est pas accessible par des références extérieures. Cette poésie retrace l’itinéraire d’une quête éminemment personnelle, la traduction dans les mots d’un voyage intérieur, voire antérieur.
L’univers poétique du recueil est habité par une nostalgie puissante, qui s’exprime à travers l’évocation d’une antériorité perdue. C’est la nostalgie de l’enfance (« Soudain, tu repenses à ton enfance / et aux images qui l’ont charmée », TN29), dans la souvenance des contes d’avant dormir, mais aussi, plus essentiellement, la nostalgie des origines de la terre malgache et de l’ancestralité. La mémoire du pays sourd du monde naturel, imprègne les éléments du paysage, emplit l’espace. Jean-Joseph Rabearivelo cherche une langue qui pourrait dire enfin ce Chant définitif, absolu, par la poésie.
Cette langue, ce serait d’abord une langue antérieure à toutes les langues, une langue première. La difficulté de l’écriture sera de retourner au plus près de cet absolu de la parole. En effet, pour un écrivain bilingue, qui vit et écrit en deux langues, et qui, à chaque instant, doit choisir entre ses deux modes d’expression, le sentiment d’une langue originelle, antérieure à toute langue, est sans doute plus fort que chez d’autres. Comment dire mieux ce moment de la pensée où le langage cherche sa voie dans le labyrinthe de l’esprit, où le poète n’a pas le sentiment de penser dans une langue ou dans une autre, mais dans une sorte de langage absolu, impossible à mettre en mots ?
Cette langue nostalgique d’un cri originaire, cette langue absolue, ce serait aussi une langue de l’indicible et de l’intériorité, un chant intérieur qui chante en nulle langue. Rabearivelo l’évoquait déjà dans « Per se » (Trèfles,1925), tentant de l’inviter dans sa poésie : « Que résonne pure en ma musique / ta voix captive de l’indicible / ô chant vif jailli de mon âme ivre ! ». Dans Presque-Songes et Traduit de la Nuit, il continue de rêver cette langue intérieure. La lecture des poèmes peut ainsi donner « le sentiment du traduit », certes, mais surtout le sentiment d’un texte en train de se traduire, d’un texte en mouvement perpétuel, suscité par une puissante dynamique interne. Le recueil travaille à cette épiphanie du chant dans les paroles du poème. On peut comprendre alors la métaphore du passage de la nuit au jour comme marquant le passage de l’intériorité du chant vers l’extériorité du poème.

Collection : Traduit de la nuit
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 PRESQUE SONGES 29.jpg
Phase rédactionnelle : état 1 ? (nous n'avons pas retrouvé d'état antérieur).
La présentation des poèmes sur la page suit toujours le même principe directeur : la page est scindée en deux parties approximativement égales, par un trait tracé après l'écriture. 
La version malgache figure à gauche, la version française à droite, souvent serrée sur le bord du feuillet. Les poèmes sont très souvent raturés, avec la même encre utilisée pour l'écriture, à tel point qu'il est parfois difficile de lire la version définitive. 
La date d'écriture, identique, est portée à la fin des deux versions.
Le premier poème est daté du 19/9/31, le dernier du 22/5/32. 

Collection : Traduit de la nuit
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 TRADUIT DE LA NUIT 1.jpg
Le brouillon rédactionnel de Traduit de la Nuit laisse moins apparaître le travail rédactionnel si particulier à cette écriture que l'on qualifierait de " bilangue " - écrite dans l'interférence du malgache sur le français - que sur les feuillets de Presque-Songes.
Et bien que la disposition générale reste identique, les deux versions du même poème se répartissant sur l’espace de la page des deux côtés d’un trait central tracé après l’écriture. A posteriori, au fil des pages des Calepins Bleus, Rabearivelo fait quelques remarques pouvant servir à mieux comprendre la genèse du recueil, si elles ne semaient en même temps la confusion. Il mentionne (CB, 26/1/36) l’existence d’un petit cahier lui ayant servi « à étudier, à fixer la mise en page du cahier 6 de Barbarie ». Ailleurs : […] je viens de m’en donner le cœur net en rouvrant mon second manuscrit (celui que, de toutes pièces, je bâtis, après en avoir détruit les premiers états et, aussi, pour la circonstance, pour une obscure et improbable postérité, après avoir imaginé hâtivement des textes hova en regard des pseudo traductions." (CB, 15/10/35, tome I, p. 935).
Ces témoignages viennent s’ajouter au mystère entretenu par Jean-Joseph Rabearivelo autour de l’écriture de ces deux recueils, dont des éléments contradictoires ont déjà été présentés dans l’introduction du recueil jumeau, Presque-Songes.
Les CB sont, d’autre part, un témoin privilégié des difficultés de publication de ce recueil. Dans un premier temps, Jean-Joseph Rabearivelo songeait à le publier à compte d’auteur, en le faisant graver par son collègue Victor Malvoisin, et tirer à 150 exemplaires hors-commerce (CB, 14/5/33, tome I, p. 98). Le projet avance suffisamment pour que le 29 août 1933 Malvoisin propose à Jean-Joseph Rabearivelo un projet de maquette de la page de couverture. Mais on perd ensuite la trace du recueil, dont la parution sous cette forme n’a jamais abouti. Ce n’est qu’en juin 1934 que Jean-Joseph Rabearivelo reparle de ce projet, qui, entretemps, a été repris par un éditeur français installé à Tunis, Armand Guibert, pour sa nouvelle collection des « Cahiers de Barbarie ».
Le 4 juin 1935, Jean-Joseph Rabearivelo reçoit une lettre de Guibert lui rapportant l’aventure de la fabrication du livre (lettre malheureusement perdue aujourd’hui) : "La première des trois lettres forme comme le calendrier de Traduit (en partant du brochage). Y vit, y revit l’atmosphère fiévreuse que mon éditeur connut en accouchant du sixième cahier de Barbarie… Ses rêves, ses cauchemars, ses cris, ses silences – et ceux de son entourage. Tout cela, pensé pour moi, à ma place. C’est d’une générosité qui m’émeut." (CB, 4/6/35, tome I, p. 856).
Le même Guibert donne par la suite, dans un carnet, quelques indications sur la difficile diffusion du recueil ; il a soin de préciser (lettre à Jean Cayrol du 5 août 19… , fonds Cayrol, IMEC) le nombre d’exemplaires vendus : seulement deux !

Collection : Traduit de la nuit
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 TERCETS 1.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE  MAN2 TREFLES TOUJOURS 1.jpg
Inspirés par haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 TREFLES couv.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Vers dorés
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES Poèmes 1925-09-15 00.JPG

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV FB 3e salon 1.jpg
Rabearivelo, naturellement, se fait l'écho de toutes les manifestations artistiques de Tananarive et ses environs. Si peu nombreuses qu'elles fussent, il les suit d'autant plus près afin, justement, d'apporter les critiques nécessaires à une véritable "vie intellectuelle". Il s'attache donc à publier ses critiques, toujours constructives au point d'être professoral, jouant là son rôle de chef d'école et d’intellectuel Hova.

Collection : Chants pour Abéone
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV VI Tsangambato.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO REV JFM Tsilo.pdf
Feuilleton de cape et d'épée, rappelant le style de Zevaco

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
Tsara Hafatra, 1ère année, n° 16, Tananarive, 11 mars 1927, p. 2.

Auteur(s) : Inconnu

Auteur(s) : Rasanjifera, Clément
Les nouvelles littéraires 07-11-1925.jpg
Article publié dans la revue Les Nouvelles littéraires.

Mots-clés :

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Notes poètes 2 5 1.jpg
JJR, ayant appris la mort du fils ainé des Heitz, se livre au jeu d'une rétrospective littéraire à partir des pièces dont il dispose. Georges Heitz, diplômé de l'école des Chartes, avait des accointances mondaines et suffisamment lettrées pour satisfaire un jeune poète. Au 81, rue de la Tour, les plus en vues de la capitale y croisent le verre. Avec l'un d'eux, Marcel Ormoy, il fonde une revue, L'Ermitage. C'est par l’entremise de ses numéros que JJR lie son amitié avec le défunt. Désormais familier de la rue de la Tour, il adresse naturellement au père, respectable cardiologue, cet insigne hommage. A 23 ans Georges Heitz laisse derrière lui une postérité, au premier rang de laquelle, un jeune frère de Madagascar - qui a des lettres !

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Hommes oeuvres V 1.jpg

Collection : Vers dorés
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 VERS DORES 1.jpg
Contient l’intégralité des poèmes dans l’ordre chronologique d’écriture. Les deux poèmes les plus anciens, qui n’appartiennent plus à l’ensemble Vers dorés mais qui ont été rattachés à Chants d’Iarive dont ils forment l’épilogue, sont sur une seule feuille collée au début du cahier avec des morceaux collants issus d’une plaque de timbres-poste : c’est la page qui a le plus souffert et qui est la plus dégradée.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Hommes oeuvres VI 1 et 2.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU TAP1 Vice impuni 1.jpg
Une parodie, étymologiquement, π α ρ α ́ " à côté de " et ω ̓ δ η ́ " chant ".
A partir du bon mot de Valéry Larbaud - " ce vice impuni, la lecture " - Rabearivelo se lance dans une digression autour de l'art de la traduction laquelle serait répréhensible contrairement à la lecture passive et respectueuse du texte. Qui transcrit dans sa langue maternelle s'empare d'un bien immatériel.
Rabearivelo, à travers ce badinage tout de parodie, dessine son autoprotrait de le " passeur de langue " qui met en relation l'imaginaire des langues.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV 18LS Valihy.jpg

Mots-clés :

Collection : Sur la valih royale
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV 18LS Vieilles chansons 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 VIEILLES CHANSONS 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE EDIT IO VIEILLES CHANSONS 1.jpg
Achevé d'imprimer le 11 mars 1939. Il a été tiré de cet ouvrage, extrait de La Revue de Madagascar n°25, 135 exemplaires sur papier pur fil Lafuma.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
fullsizeoutput_4b.jpeg
Achevé d'imprimer le 11 mars 1939. Il a été tiré de cet ouvrage, extrait de La Revue de Madagascar n°25, 135 exemplaires sur papier pur fil Lafuma.

Mots-clés : ,

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
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