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Votre recherche dans le corpus : 255 résultats dans 1109 notices du site.
Type de document : Poésie (Poème)

Collection : Poema Verba
dossier_SONY (glissé(e)s)0.pdf

Trois feuillets dactylographiés à l’encre machine noire, sur papier peluche aux traces de pliure évidentes, portant deux poèmes précédés de l’adresse, suivis de la date « octobre 1982 » et de la signature manuscrites ; texte presque sans ratures, hormis un court ajout à la main dans chaque texte.

Ces deux poèmes tapuscrits intitulés « Poema Verba » et « Qu’ils sont fiers… », longs, respectivement, de 51 vers sur deux feuillets et de 42 vers sur un feuillet, apparaissent à l’évidence comme des mises au net de la première version du cahier manuscrit, avec de surcroît quelques modifications de l’une à l’autre version, surtout dans le deuxième poème où une ligne en pointillé manuscrite signale un coupure autographe. Ils sont en lien avec un troisième, un poème déjà publié dont Sony envoie une photocopie à la même destinataire au Brésil, et dont le titre, Verba ou le poème à hydrogène, signale assez la parenté avec les deux précédents.

Le fonds Sônia O. Almeida est aussi composé de 21 feuillets manuscrits, support de 12 lettres autographes de Sony à Sônia O. Almeida (1981-1987). Extraits concernant son désir de publier ses poèmes en recueil : 
« […] Je t’envoie des textes au hasard de ma main dans le fouillis de papiers. C’est des poèmes peut-être je n’ai pas eu le temps de le savoir. J’ai criffonné, un point c’est tout. Dans le dernier numéro du courrier de l’Unesco ont paru des poèmes à moi. Voyez ce que vous pouvez en faire. […] » (30 novembre 19811)
« […] Mes poèmes sont dans des anthologies mais pas encore en plaquettes. Je le ferai plus tard. Par respect pour le genre. […] » (2 avril 85)

1 Cette année est problématique, car elle anticipe d’une année les poèmes envoyés dans cette lettre et datés, eux, d’octobre 82. Plus probablement que celle-ci, c’est la date de la lettre qui est erronée.

Auteur : Sony Labou Tansi
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10 feuilles de format courant (21 x 29 cm), chacune portant au recto un poème numéroté (2, 5, 6, 9, 10, 11, 13, 15, 19, 20), envoyées par l’auteur à J.-M. Devésa. Celui-ci, avec l’autorisation écrite de Yavelde, la fille aînée de Sony, publie dans son essai biographique[1], les six derniers poèmes sans leurs numéros d’ordre, précédés de cette notice :

 "À l’automne 1994, un courrier de Sony Labou Tansi adressé à l’auteur contenait ces poèmes, non titrés, simplement numérotés, ne portant aucune indication quant au recueil d’où ils avaient été extraits. Chaque texte était dactylographié sur une seule et unique page. L’ensemble, constitué de doubles obtenus au carbone, est relativement ancien si l’on en juge par l’état du papier ; il comporte quelques corrections de la main de l’écrivain."

 Pour établir le texte de la présente édition génétique, J.-M. Devésa nous a gracieusement transmis en janvier 2015 une copie numérique non seulement des six poèmes déjà publiés, mais aussi des quatre restés inédits, soit la moitié de ce recueil dont on peut raisonnablement supposer qu’il comptait au moins 20 poèmes. L’autre moitié est toujours portée disparue (il manque les poèmes 1, 3, 4, 7, 8, 12, 14, 16, 17, 18).


[1] J.-M. Devésa, Sony Labou Tansi. Écrivain de la honte et des rives magiques du Kongo, Paris, L’Harmattan, 1996, 379 p. ; pp. 337-355.

Auteur : Sony Labou Tansi
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Le nombre 12 précède le titre. La mention « 11. inventaire » fait référence à notre premier inventaire du fonds, en 1996, publié en 2003 dans le numéro 15 des Études Littéraires Africaines.

 Tous les indices matériels (même papier, même machine à écrire, et surtout le chiffre 12 figurant parmi les 10 poèmes manquants) concourent à restituer ce poème isolé et orphelin, à la 12e place qu’il avait dans le recueil d’origine. D’où Sony avait dû le distraire pour lui faire un sort à part, en le renommant « Testament » de la même encre bleue que les autres corrections manuscrites. Le fait que ce poème singulier s’ajuste exactement dans le puzzle à présent moins lacunaire (neuf poèmes perdus, un poème retrouvé) et que sa nouvelle fonction testamentaire est affirmée en toutes lettres nous donne une piste pour tenter, d’une part, de reconstituer la ténébreuse affaire des neuf disparus et, d’autre part, de restituer son titre au recueil. 

Collection : Poema Verba
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Pour compléter le recueil Poema Verba, on y ajoute volontiers une dernière pièce annoncée par Sony dans sa lettre : « Mourir aux hormones », poème « jumeau » des trois autres, publié dans le Courrier de l'Unesco, dans ce même temps de colère contre la bombe et tout pouvoir de mort.

Collection : Poema Verba
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Manuscrit autographe provenant du fonds Brazzaville. N° 30 bis dans l’inventaire 2008 (mission ITEM). Déposé à la BFM.

Le texte du roman, sans doute inachevé, s’arrête 10 pages avant la fin du cahier. Après deux pages blanches, le texte de deux poèmes, peu raturé, de deux pages et demie chacun, occupe les six pages restantes. Le premier, « Poema Verba », est composé de 50 vers écrits à l’encre bleue ; le deuxième, de 55 vers à l’encre noire, sans titre, dont l’incipit est « Je suis ton frère… ». Deux poèmes peuvent-ils faire recueil ? Non, tout au plus, peut-on faire l’hypothèse, en se fondant sur les pratiques d’écriture poétique de Sony, d’une intention de recueil. 

Collection : Poema Verba
Auteur : Sony Labou Tansi
dossier_SONY (glissé(e)s) 3.pdf
Poème publié in Christian Descamps, Poésie du monde francophone, Paris, Le Castor Astral/Le Monde, 1986, 221 p ; p. 93., dont Sony envoie une copie à Sônia O. Almeida.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Trois poèmes comme trois mignardises où le poète du cru chante les beautés du terroir : les filles hovas, hésitantes comme l'Aube, les fleurs désolées, les mangues, pastèques, coings... Rabearivelo élève son pays natal, comme Frédéric Mistral sa Provence, dans toute sa primeur. Ce faisant, il va de concert avec les européens en goguette dans les îles pour qui telle personne vue n'est jamais qu'un type, hova ou sakalava, plus ou moins représentatif de la " race ". Rabearivelo dit le monde d'après Pierre Camo et ses acolytes ; c'est un air d'emprunt.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP 11 Oct 26 1.jpg

3 feuillets (20,5 x 26,5), épinglés ensemble, tapuscrit recto, papier pelure. Ce tapuscrit comporte les poèmes « Nofinofy vaovao », « Ny foko nanidina », sans titre « Veloma, veloma », « Ao an’ala » et sans titre « Jereo ka diniho ».

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN2 Jereo.jpg
Un feuillet manuscrit recto du poème, sans date.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV TH Tononkira 1.jpg

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN2 Ame Iarive 1 et 2.jpg
2 feuillets (14 x 18), épinglés, écrits au recto, paginés et signés, sans date, et en bon état. Il s’agit encore des deux seuls poèmes de la sous-section « La nouvelle amie » (pièces 25 et 26) et c’est bien là, sans aucun doute, le manuscrit, intitulé « L’Âme d’Iarive », qui servit à une lecture faite chez Pierre Camo, selon le témoignage des CB (24/2/33).

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN2 Poèmes Iarive.jpg

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ER Rythme 1.pdf
Une publication de quatre poèmes dans la revue L'Ermitage que signale l'Argus de la presse - l'oeil qui " voit tout ". JJR entretient en effet une relation avec Georges Heitz et Marcel Ormoy, les fondateurs de la revue, en leur consacrant des études, notamment dans Les Enfants d'Orphée, les dédicaces coutumières, les allusions et bien sûr la correspondance - présumée faute de pièces à verser au dossier.

Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Reprend un seul des « Chants pour l’Amitié » de Vers dorés, le poème dédié à Marcel Ormoy, l’autre poème, également dédié à Pierre Camo, n’est pas le même que dans notre recueil).

Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV CAP4 25.jpg
Contient "Mourir de ne pas vivre" (Vers dorés)

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP Ville bleue 1.jpg
Dédiés au photographe Ramilijaona aka Ramily, oncle de sa femme Mary Rabako, précédés d'un exergue du haut fonctionnaire Pierre Camo, Les poëmes de la ville-bleue naissent à cet entrelacs : au sein d'une société urbaine, suffisamment aisée pour jouir de l'offre culturelle que propose le Tananarive des années 1920-1930.
Constituée autour du Cercle français, une bourgeoisie de " naturalisés & assimilés " s'affirme à travers un ensemble d'habitus, de nouvelles pratiques sociales : la fréquentation de lieux interdits au commun des malgaches, le théâtre municipal, le grand hôtel, chez Fumar.. autant d'endroits où l'on tolère leur présence en fonction de leur savoir-vivre - tenue vestimentaire, manières empruntées...
À ce titre, le rapprochement de son oncle par alliance, Ramilijaona, photographe de cette société tananarivienne, et Pierre Camo, magistrat de la Cour de droit indigène de Tananarive, pose le cadre où se déploie la poésie de Rabearivelo. L'image du pays, la terre des morts, que véhicule Rabearivelo s'auréole de " Mélancolie " et lui abandonne toute liberté : " le village est mot " et n'est plus que matière à songe. En tout, le cliché d'Ambohimanga convient à un public francophile pour qui les ruines de l'Imerina se présentent comme de vastes réservoirs de poésie.
En ce sens, cette vision s'inscrit dans une esthétique de l'Île bienheureuse - expression poinçonnée par l'Administration. De plus en plus, se développe un film colonial censé faire naître en l'esprit des français un désir impérial : débouchés professionnels ainsi que destinations touristiques. La Colonie sera d'autant plus attrayante qu'elle sera chantée. Allégeance à l'ordre établi, Rabearivelo s'incarne poète national et de Cour. Mais à ses yeux, qui endosse l'habit royal : le Gouverneur Général ou ce " vent [qui] tourne, à l'entour du palais " ; pouvoir en place ou évanescent ?
La destination du poème oscille entre sujet politique et thème poétique et peut-être l'écriture française de Rabearivelo n'est-elle que ce mouvement incertain entre ces deux extrêmes ?
Rabearivelo, par sa posture de dandy, échappe à l'embrigadement et la seule chose qu'il brigue, toujours, c'est l'Esprit. Aussi faut-il se murmurer la phrase culte de Maurice Barrès si en vogue parmi ce petit monde : " il est des lieux où souffle l'esprit...". C'est l'ouverture de La Colline inspirée, roman paru en 1913 qui célèbre la montagne de Sion dans la chère Lorraine de l'auteur. Une longue période qui énumère ces hauts lieux de l'âme, temples naturels où s'aggrège le sentiment du pays à l'origine d'un nationalisme, justement, intégral.
En ce sens, il est de bon ton de rapprocher les deux endroits afin de mieux exaucer le caractère sacré du site en dehors des contingences sociales tels que les travaux forcés (SMOTIG), la contrainte par corps - dont pourtant Rabearivelo fait l'expérience -, la censure, la torture dont les prisons indigènes sont le théâtre.. enfin toutes les caractéristiques d'un régime totalitaire.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP Rythme Synthèse 2.jpg
Deux poèmes destinés à la revue Rythme et synthèse. Placé sous les auspices du Maître de Valvins, Mallarmé, et du mentor Pierre Camo, JJR s’inscrit non seulement dans l'histoire littéraire mais aussi au coeur de la scène contemporaine et coloniale : Pierre Camo est poète magistrat de la Cour de Tananarive. C'est à ce dernier qu'il adresse le premier poème qu'il publie dans la presse. Aux yeux du jeune poète, il incarne la figure du mécène.

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Traduit de la nuit
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 TRADUIT DE LA NUIT 1.jpg
Le brouillon rédactionnel de Traduit de la Nuit laisse moins apparaître le travail rédactionnel si particulier à cette écriture que l'on qualifierait de " bilangue " - écrite dans l'interférence du malgache sur le français - que sur les feuillets de Presque-Songes.
Et bien que la disposition générale reste identique, les deux versions du même poème se répartissant sur l’espace de la page des deux côtés d’un trait central tracé après l’écriture. A posteriori, au fil des pages des Calepins Bleus, Rabearivelo fait quelques remarques pouvant servir à mieux comprendre la genèse du recueil, si elles ne semaient en même temps la confusion. Il mentionne (CB, 26/1/36) l’existence d’un petit cahier lui ayant servi « à étudier, à fixer la mise en page du cahier 6 de Barbarie ». Ailleurs : […] je viens de m’en donner le cœur net en rouvrant mon second manuscrit (celui que, de toutes pièces, je bâtis, après en avoir détruit les premiers états et, aussi, pour la circonstance, pour une obscure et improbable postérité, après avoir imaginé hâtivement des textes hova en regard des pseudo traductions." (CB, 15/10/35, tome I, p. 935).
Ces témoignages viennent s’ajouter au mystère entretenu par Jean-Joseph Rabearivelo autour de l’écriture de ces deux recueils, dont des éléments contradictoires ont déjà été présentés dans l’introduction du recueil jumeau, Presque-Songes.
Les CB sont, d’autre part, un témoin privilégié des difficultés de publication de ce recueil. Dans un premier temps, Jean-Joseph Rabearivelo songeait à le publier à compte d’auteur, en le faisant graver par son collègue Victor Malvoisin, et tirer à 150 exemplaires hors-commerce (CB, 14/5/33, tome I, p. 98). Le projet avance suffisamment pour que le 29 août 1933 Malvoisin propose à Jean-Joseph Rabearivelo un projet de maquette de la page de couverture. Mais on perd ensuite la trace du recueil, dont la parution sous cette forme n’a jamais abouti. Ce n’est qu’en juin 1934 que Jean-Joseph Rabearivelo reparle de ce projet, qui, entretemps, a été repris par un éditeur français installé à Tunis, Armand Guibert, pour sa nouvelle collection des « Cahiers de Barbarie ».
Le 4 juin 1935, Jean-Joseph Rabearivelo reçoit une lettre de Guibert lui rapportant l’aventure de la fabrication du livre (lettre malheureusement perdue aujourd’hui) : "La première des trois lettres forme comme le calendrier de Traduit (en partant du brochage). Y vit, y revit l’atmosphère fiévreuse que mon éditeur connut en accouchant du sixième cahier de Barbarie… Ses rêves, ses cauchemars, ses cris, ses silences – et ceux de son entourage. Tout cela, pensé pour moi, à ma place. C’est d’une générosité qui m’émeut." (CB, 4/6/35, tome I, p. 856).
Le même Guibert donne par la suite, dans un carnet, quelques indications sur la difficile diffusion du recueil ; il a soin de préciser (lettre à Jean Cayrol du 5 août 19… , fonds Cayrol, IMEC) le nombre d’exemplaires vendus : seulement deux !

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Fahatsiarovana.jpg

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

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