Espace Afrique-Caraïbe

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Votre recherche dans le corpus : 1109 résultats dans 1109 notices du site.

Collection : L'Essor
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES  1928-12-15 NSQP IV Robert-Jules Allain 00.jpg

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Dame Manolotrony 1.jpg
Rabearivelo attaque la crédulité des " ouailles de l'église " qui s'en vont, dans un pèlerinage excité, à la rencontre d'une " humble femme, sans instruction et native d'une province désertique et barbare " qui, depuis sa " résurrection ", a été sacrée " guérisseuse " . Rabearivelo oppose à cet " engouement qui déshonore le pays " une vision lucide d'un tel " miracle ". S'étant rendu sur les lieux, sept jours durant en pays Betsileo, il étudie le cas à la lumière de la raison. Sûrement, cette Ravelonjanah est-elle capable d'une " forte tension de sa volonté " ; aussi Rabearivelo rejette-t-il l'effervescence de masse pour mieux apprécier " une science maintenant reconnue " et, fusse-t-elle " par accident ou par patience ", qui " mérite d'être enregistrée ". Cela avant que cette nouvelle Bernadette Soubirou ne fasse d'Ambalavao une ville jumelle de Lourdes et achève de contaminer " toute une région jusqu'ici heureuse ".

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Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 Nuage clair.jpg
Souvent revient ce motif du Livre : depuis les hauteurs de Tananarive et de sa Grande Île, Rabearivelo aspire à prendre le large, voguer vers l'Ailleurs ; mais cela, pour aussitôt mieux affirmer sa tension d'esprit, une présence toute littéraire. Rabearivelo, comme à son accoutumée, dialogue avec les morts. Ici, le poète et philosophe Lucrèce et son De rerum Natura, De la nature des choses.
Il est doux, quand la vaste mer est troublée par les vents, de contempler du rivage la détresse d’un autre ; non qu’on se plaise à voir souffrir, mais par la douceur de sentir de quels maux on est exempt. Il est doux encore d’assister aux grandes luttes de la guerre se développant dans les plaines, sans prendre sa part du danger. Mais il n’est rien de plus doux que d’habiter ces sommets élevés et sereins, ces forts construits par la doctrine des sages, d’où l’on peut apercevoir au loin le reste des hommes égarés dans les routes de la vie, y luttant de génie, y contestant de noblesse, s’épuisant en efforts et le jour et la nuit, surnageant enfin pour saisir la fortune et la puissance. Ô malheureuses pensées des humains ! esprits aveugles !*
Célèbre cadence avec laquelle Rabearivelo entre, par dessus les mers et les siècles, en correspondance. Le thème du " Suave, mari magno " - suave, par la grande mer - constitue un lieu commun où, justement, se rencontrent un latin du Ier siècle avant Jésus-Christ et un mélanien fou de latinités.. tout en n'ayant jamais quitté son île australe ! C'est à cet entrelacs que s'initie l'écriture - et la lecture - de Rabearivelo ; c'est le lieu de l'écrivain.
* Traduction de M. Patin, 1876 mise en ligne par Yoto Yotov sur http://www.notesdumontroyal.com/note/190, ensemble de "Comptes rendus sur la littérature ancienne et moderne de toutes les nations."

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 Parfum jardin.jpg
Premier manuscrit d'un poème qui célèbre " le bonheur des derniers jours de l'été " : c'est Rabearivelo au milieu des siens, sa femme Mary - la dédicataire -, ses enfants, et le jardin, celui de sa chère maison dans Tananarive. Rabearivelo s'installe, met en scène un idéal bucolique mais qui se veut quotidien autant que naturel.

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Interférence [L']
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO TAP1 INTERFERENCE 0.jpg
Achevé le 1er juin 1929 – date de l’épilogue –, L’Interférence est resté inédit du vivant de JJR. La publication (Hatier, 1988) n’a eu lieu qu’à la suite de la commémoration du cinquantenaire de sa mort, lors d’un colloque organisé par l’Universite d’Antananarivo. Le comité d’organisation découvrait alors sa prose francophone dans les archives familiales. Précédant La Fille de Baholy et Une vie de chienne "en préparation", le roman participe d’un "polyptyque, Le Dépaysement imérinien" précisé dans l’épilogue.
Le roman relate l’histoire d’une famille malgache sur trois générations, depuis lerègne de Ranavalona Ire jusqu’aux débuts de la colonisation.

Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV CAP1 1.jpg

Auteur : Valéry, Paul
NUM CORR2 Valery 231030.pdf
Première occurrence de l'expression " îlots de poésie ", sûrement est-ce le télégramme qui inspira à Rabearivelo le titre de son étude Îlots de poësie dans la mer des Indes...

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Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Fagus
CORR2 Fagus 070231 1.jpg
En réponse à l'envoi de deux numéros de Capricorne.

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Auteur : Fagus
CORR2 Fagus 200231 1.jpg
Contient quelques vers.

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Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Auteur : Fagus
CORR2 Fagus 190331 1.jpg
2 feuillets mss 21x27,5 . Sur le choix de la langue d'écriture.

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Auteur : Fagus
CORR2 Fagus 310331.jpg
1 feuillet mss 21x27,5. Naissance de Voahangy, et Capricorne 4.

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Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO REV FB IRENE.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM CORR1 Montagné 140931 f1.jpg

2 feuillets mss (photocopie) écrit recto verso et recto, signé J. Rabearivelo, daté (en tête) 14 septembre 31, sur papier en-tête Capricorne.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV TM Grammairien.pdf

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM CORR1 Montagné 180931.jpg
Photocopie d'une lettre manuscrite sur papier à en-tête "La Tribune de Madagascar et dépendances". Un feuillet. Note linguistique sur ambany / ambony.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Hommes oeuvres V 1.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Lettre Tananarive 1.jpg
Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on "songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique" et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla", il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce "proconsul" ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant "des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage !"
Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être "fou de langue française" et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : "certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé" ? Faut-il le rappeler, la censure d'un état totalitaire s'y exerçait - témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Lettre Tananarive 1.jpg
Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on « songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique » et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla" il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce « proconsul » ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant « des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage ! " Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Le regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être « fou de langue française » et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : « certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé » ? Faut-il le rappeler, la censure d'un régime totalitaire s'y exerçait, témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN Ankevitry 1.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO TAP Ankevitry 1.jpg

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU TAP1 Ilots 1.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV JP32 Destin romantique.PDF

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Rilke 1 et 2.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM CORR1 Ballard 220532.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV FB Ilots 1.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM CORR1 Ballard 090732.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE EDIT LOVA 1.jpg
L’œuvre poétique de Jean-Joseph Rabearivelo en langue malgache est essentiellement connue du public grâce au petit volume intitulé Lova (Héritage), paru en 1957. Mais ce recueil poétique n’est pas un ensemble voulu par Jean-Joseph Rabearivelo ; c’est une anthologie destinée à mettre en valeur son oeuvre poétique en langue malgache, constituée après sa mort par un comité d’édition qui a rassemblé l’essentiel de sa production poétique en cette langue parue de son vivant dans les journaux de Tananarive. Lova a ensuite été republié en 1988 par le Ministère malgache de la Culture et des Arts Révolutionnaires, dans une version plus longue et beaucoup plus hétéroclite encore, puisqu’y ont été alors ajoutés d’autres poèmes parus dans différentes revues, ainsi que plusieurs éléments tirés des recueils Sary-nofy / Presque-Songes (1934) et Nadika tamin’ny alina / Traduit de la Nuit (1935), que nous ne reprenons bien évidemment pas ici. À cet ensemble de textes déjà conséquent, nous avons joint quelques poèmes passés inaperçus à l’époque de la parution de Lova et encore largement ignorés aujourd’hui.

Collection : L'historien
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM CORR1 Ballard 051032 1.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo, naturellement, se fait l'écho de toutes les manifestations artistiques de Tananarive et ses environs. Si peu nombreuses qu'elles fussent, il les suit d'autant plus près afin, justement, d'apporter les critiques nécessaires à une véritable "vie intellectuelle". Il s'attache donc à publier ses critiques, toujours constructives au point d'être professoral, jouant là son rôle de chef d'école et d’intellectuel Hova.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Calepins bleus
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Les cinq premiers volumes du journal de Rabearivelo ont été brûlés de sa propre main, si l'on en croit le poète.
Cet ensemble constitue le tome VI de ces Témoins secrets. Il couvre l'année 1933.

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Collection : L'épistolier
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM CORR1 Mme Cayla 280433 1.jpg

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Collection : Calepins bleus
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Traduit de la nuit
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 TRADUIT DE LA NUIT 1.jpg
Le brouillon rédactionnel de Traduit de la Nuit laisse moins apparaître le travail rédactionnel si particulier à cette écriture que l'on qualifierait de " bilangue " - écrite dans l'interférence du malgache sur le français - que sur les feuillets de Presque-Songes.
Et bien que la disposition générale reste identique, les deux versions du même poème se répartissant sur l’espace de la page des deux côtés d’un trait central tracé après l’écriture. A posteriori, au fil des pages des Calepins Bleus, Rabearivelo fait quelques remarques pouvant servir à mieux comprendre la genèse du recueil, si elles ne semaient en même temps la confusion. Il mentionne (CB, 26/1/36) l’existence d’un petit cahier lui ayant servi « à étudier, à fixer la mise en page du cahier 6 de Barbarie ». Ailleurs : […] je viens de m’en donner le cœur net en rouvrant mon second manuscrit (celui que, de toutes pièces, je bâtis, après en avoir détruit les premiers états et, aussi, pour la circonstance, pour une obscure et improbable postérité, après avoir imaginé hâtivement des textes hova en regard des pseudo traductions." (CB, 15/10/35, tome I, p. 935).
Ces témoignages viennent s’ajouter au mystère entretenu par Jean-Joseph Rabearivelo autour de l’écriture de ces deux recueils, dont des éléments contradictoires ont déjà été présentés dans l’introduction du recueil jumeau, Presque-Songes.
Les CB sont, d’autre part, un témoin privilégié des difficultés de publication de ce recueil. Dans un premier temps, Jean-Joseph Rabearivelo songeait à le publier à compte d’auteur, en le faisant graver par son collègue Victor Malvoisin, et tirer à 150 exemplaires hors-commerce (CB, 14/5/33, tome I, p. 98). Le projet avance suffisamment pour que le 29 août 1933 Malvoisin propose à Jean-Joseph Rabearivelo un projet de maquette de la page de couverture. Mais on perd ensuite la trace du recueil, dont la parution sous cette forme n’a jamais abouti. Ce n’est qu’en juin 1934 que Jean-Joseph Rabearivelo reparle de ce projet, qui, entretemps, a été repris par un éditeur français installé à Tunis, Armand Guibert, pour sa nouvelle collection des « Cahiers de Barbarie ».
Le 4 juin 1935, Jean-Joseph Rabearivelo reçoit une lettre de Guibert lui rapportant l’aventure de la fabrication du livre (lettre malheureusement perdue aujourd’hui) : "La première des trois lettres forme comme le calendrier de Traduit (en partant du brochage). Y vit, y revit l’atmosphère fiévreuse que mon éditeur connut en accouchant du sixième cahier de Barbarie… Ses rêves, ses cauchemars, ses cris, ses silences – et ceux de son entourage. Tout cela, pensé pour moi, à ma place. C’est d’une générosité qui m’émeut." (CB, 4/6/35, tome I, p. 856).
Le même Guibert donne par la suite, dans un carnet, quelques indications sur la difficile diffusion du recueil ; il a soin de préciser (lettre à Jean Cayrol du 5 août 19… , fonds Cayrol, IMEC) le nombre d’exemplaires vendus : seulement deux !

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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JJR se fait l'écho de la vie artistique de Tananarive. Il fait l'éloge de Madagascar plus à la page que ses sœurs d'outre-mer, atour déférent par lequel il habille "ses pensées de derrière la tête" : la salle Gros-Citroën qui accueille l'exposition de la peintre Chériane - épouse de Urbain-Faurec - ne semble pas du tout prévue à cet effet... Mécenat intéressé où l'art ne figure qu'à titre d'épice ! écrit JJR dans ses Calepins Bleus à propos de la revue officielle de la Colonie. En dépit de ce défaut d'accrochage, il témoigne de l'engouement suscité chez lui et la "Phalange", avec en 1923, cette foire artistique où ils purent voir des toiles de l'Ecole de Paris - autre chose que les produits de l'import-export entre Majunga et Paris ! Il serait donc souhaitable que ce genre de manifestations se développe pour une jeune génération désireuse de s'ouvrir à la culture européenne.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM CORR1 Ballard 250633 1.jpg
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