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[1579_Oeu_Pon] 018 Dedans ton cœur ma pauvre ame est serrée

Présentation générale du poème

Titre de la pièceXVIII.

Incipit non moderniséDedans ton cœur ma pauvre ame est serree

Les pages

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Autres notices de la collection

⇽ [1579_Oeu_Pon] 006 Ah liberté ! que trop je te regrette

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[1579_Oeu_Pon] 007 Ce teint vermeil le sejour de mes yeux

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[1579_Oeu_Pon] 008 Beneist soit l’an, le mois, et la journée

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[1579_Oeu_Pon] 009 Je voy Madame, au mouvoir de voz yeux

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[1579_Oeu_Pon] 010 Celeste Idee, en qui mon cœur se mire

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[1579_Oeu_Pon] 011 Ou print Amour cet or ? de quelle véue

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[1579_Oeu_Pon] 012 Plus je la voy, plus fort je l’esmerveille

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[1579_Oeu_Pon] 013 O quantesfois je repense à part moy

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[1579_Oeu_Pon] 014 S’on dit que j’aime une beauté mortelle

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[1579_Oeu_Pon] 015 D’où vient cet œil ? d’où bien ceste lumiere

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[1579_Oeu_Pon] 016 Pourquoy joins tu les rayons de tes yeux

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[1579_Oeu_Pon] 017 Helas, Idee, Idee, helas, helas

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[1579_Oeu_Pon] 018 Dedans ton cœur ma pauvre ame est serrée

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[1579_Oeu_Pon] 019 Quel antidote à l’amere poison

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[1579_Oeu_Pon] 020 Comme le cerf apres la grand’ froidure

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[1579_Oeu_Pon] 021 Que n’euz je alors la prudence d’Ulysse

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[1579_Oeu_Pon] 022 Tu dis Platon que l’amour est amere

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[1579_Oeu_Pon] 023 Jamais Amour n’est exempt de langeur

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[1579_Oeu_Pon] 024 Comme il advient d’une ville gaignée

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[1579_Oeu_Pon] 025 Ton cœur Idee, est la dure galere

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[1579_Oeu_Pon] 026 Las ! force m’est que je face retour

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[1579_Oeu_Pon] 027 Puis qu’aymer est une grande vertu

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[1579_Oeu_Pon] 028 Peu de repos de longue peine avoir

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[1579_Oeu_Pon] 029 Qui voudra voir la plus belle du monde

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[1579_Oeu_Pon] 030 Dame außitost que vostre bau j’admire⇾