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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle au président du tribunal sa lettre du 22 janvier 1877. Le tribunal a reporté d'une quinzaine la comparution de Godin et du représentant de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, Godin s'est rendu à Vervins le lundi précédent, mais la comparution a été à nouveau reportée car l'ingénieur de la Compagnie n'était pas disponible. Godin estime que sa comparution est inutile. Dans la mesure où la Compagnie lui interdit depuis un an l'accès à la gare de Guise, qu'il s'agit d'une situation inédite faite à une industrie employant 1 200 ouvriers située à l'entrée d'une gare de chemin de fer et ne demandant que l'application des règles de droit commun, Godin demande au tribunal de rendre son jugement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le président du tribunal de commerce de Vervins qu'il lui sera impossible de se rendre à sa convocation car il se trouve à Amiens jusqu'au mercredi suivant pour une affaire devant la cour d'Amiens. Il le prévient qu'il ne lui semble pas possible qu'un arrangement ait pu être conclu sous les yeux du tribunal, alors que 5 ou 6 longues conférences entre l'administration du chemin de fer et lui n'ont pu aboutir à un accord, et il souhaite que le tribunal rende son jugement. Il annonce qu'il serait prêt à conclure une convention avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise si celle-ci offrait des conditions acceptables comme celles que propose aux industriels la Compagnie du chemin de fer du Nord.
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