Godin répond à la lettre d'A. Lenoir du 30 octobre 1866 qui évoque l'exploitation d'objets nouveaux. Il l'avertit qu'il doit aller prochainement à Paris et pourra en parler avec lui. Il évoque la visite que Lenoir lui a rendu en 1858. Godin pense que l'appareil à rafraîchir de Lenoir ne sera pas d'une vente facile et lui indique que des modèles de chauffe-bain ont déjà été fait sans connaître le succès.