Godin informe Perrot, qui lui a annoncé qu'il ne pouvait acquitter une traite de 848 F échue le 16 avril 1848, qu'il compte obtenir son règlement en bonne valeur de portefeuille dans la Caisse commerciale de Saint-Quentin ; Godin ajoute les frais de retard et de change au montant de la traite qui s'élève désormais à 864,90 F.

Godin informe Perrot que la banque Lécuyer et Cie vient de l'obliger à lui rembourser des traites, comme celle dont Perrot est débiteur envers Godin ; il demande à Perrot de lui verser des espèces ou de s'entendre avec Lécuyer et Cie si sa traite est dans leurs mains.

Godin retourne à Perrot la reconnaissance de la Caisse commerciale de Saint-Quentin et l'avise qu'il émet un mandat de 862,90 F à échéance du 15 juillet 1848.

Godin demande à Perrot de préciser le modèle de cuisinière qu'il désire. Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin signale à Perrot qu'il se montrera reconnaissant, après le procès, à l'égard des marchands qui n'auront pas favorisé la contrefaçon.