Marie Moret répond à la lettre du 20 juin 1900 de madame Petit : elle n'est pas directrice de la Société du Familistère, ne s'occupe d'aucune affaire administrative car elle gère exclusivement la publication du journal Le Devoir et renvoie sa correspondante vers Louis-Victor Colin pour répondre à sa question. Elle indique toutefois que l'admission au Familistère est difficile pour une personne extérieure et que les places sont attribuées en priorité aux enfants des actuels employés.