Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Godin annonce à Jules Simon qu'il n'a pas eu le temps de rédiger la note sur les écoles du Familistère mais qu'il lui envoie son ouvrage La richesse au service du peuple dans lequel sont décrites les classes d'enseignement des écoles du Familistère. Il lui adresse le numéro du Glaneur de Saint-Quentin du 18 août qui porte sur les difficultés que rencontrent les écoles du Familistère. Il lui explique qu'il a toujours eu conscience que la loi donnait à l'administration le moyen de lui créer des embarras comme ceux que le préfet de l'Aisne lui cause actuellement. Il attire l'attention de Jules Simon sur le Familistère et espère collaborer avec lui « à l'émancipation de l'instruction publique en France, par l'édification d'une bonne loi, si nous pouvons être appelés à la faire ».