Godin répond à la lettre de Pagliardini du 2 janvier 1875. Il explique que son fils Émile devait se rendre en Angleterre il y a un mois mais que son voyage a été retardé. Sur les Eddas : Godin remercie Pagliardini pour ses recherches mais les Eddas n'ont que 300 ou 400 ans ; il doute qu'ils puissent lui être utiles pour ses études sur la morale des livres sacrés des anciens, mais si Pagliardini en jugeait autrement, il lui demande de donner le livre à son Émile à l'occasion de son prochain voyage. Godin félicite Pagliardini pour ses « Pensées sur la vie, les passions et le bonheur », que Marie Moret lui a traduites en français. Il espère que les sœurs de Pagliardini se portent bien et que mademoiselle Cynthia est rétablie de sa maladie. Il lui transmet les remerciements de Marie Moret pour les 5 journaux pleins de très belles gravures que lui a envoyés mademoiselle Charlotte. Il lui annonce que son quatrième volume ne tardera pas à paraître.