Godin regrette que Turquet ne l'ait pas tenu informé de la question du chemin de fer du Cateau à Saint-Erme après son retour à Versailles et que Leroux n'ait pas répondu à la longue lettre qu'il lui a écrite à ce sujet, qu'il devait diffuser auprès de Turquet et des autres députés de l'Aisne. Godin a appris que la commission [de la Chambre des députés] réunie le 8 décembre pour examiner les projets de chemins de fer n'avait pas dit un mot de la ligne du Cateau à Saint-Erme. Godin se demande pourquoi les intérêts de l'Aisne sont ainsi oubliés, bien que Waddington fasse partie de la commission. Godin suggère à Turquet de s'intéresser à la question car elle intéresse ses électeurs.