Godin accuse réception de la lettre de Turquet du 20 septembre 1876 et lui signale qu'il n'a pas encore reçu le projet de loi relatif aux chemins de fer. Sur la diffusion d'une brochure de Terquem : Godin indique qu'il ne veut pas violer la loi sur le colportage qui entrave la propagande, et que la distribution doit se faire par la poste mais au prix de frais et d'une perte de temps considérables. Il se déclare partisan de l'abrogation de la loi sur le colportage et des lois sur le droit de réunion. Il l'informe qu'il a décidé de se faire libraire par le moyen d'une déclaration au ministre de l'Intérieur et que les brochures de Terquem sont en vente au Familistère de façon légale.