Godin informe Apeldorm que sa lettre à Eugène André, qui fait part de son désir de reprendre les voyages pour Laeken, lui est parvenu à Guise et que ce dernier lui a transmise car les voyageurs de commerce de Laeken sont ses voyageurs. Il lui explique qu'il a gardé un bon souvenir de lui même s'il est parti sans l'avertir. Il lui signale qu'il se plaint à tort d'une personne qui l'estime toujours. Godin accepte qu'il fasse les voyages en Hollande sans avoir à travailler dans les bureaux. Godin lui demande de lui fixer ses conditions.