Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin rappelle à Oudin-Leclère ses lettres des 24 et 26 (sic) septembre 1848, et son désir d'obtenir immédiatement un jugement dans le procès ; il le prie de lui fixer un rendez-vous à Vervins.

Godin informe Bouillard qu'il vient de lui expédier trois fourneaux et lui communique la facture correspondante. Il lui signale qu'il lui a envoyé des fourneaux de prix peu élevés. Godin autorise Bouillard à installer et faire fonctionner la grande cuisinière pour servir de démonstration aux acheteurs.

Après une longue absence, Godin accuse réception de la lettre de Lobbez du 28 septembre 1848 et des effets qu'elle contenait. Godin retourne ces effets à Lobbez en lui expliquant que la situation des affaires l'oblige à ne livrer des marchandises qu'en contrepartie d'un paiement au comptant ou en billets de banque. Godin propose toutefois à Lobbez de lui accorder une remise de 4 % sur le prix des marchandises.

Godin répond à la lettre de Villette du 29 septembre 1848 en lui adressant une circulaire. Il remercie Villette de lui signaler l'existence de contrefaçons de ses produits chez les marchands de Nesle.