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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Chatey, 3 [octobre 1849]
Godin commande en urgence 120 bottes de fil de fer très doux de différentes dimensions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lefébure, 3 octobre 1849
Godin commande 1 000 manches vernis de petite dimension et 400 manches de grande dimension. Il signale que les dernières boules de cuivre que Lefébure lui a livrées pèsent 41 grammes, et lui demande s'il peut en fabriquer d'un poids de 55 grammes, qui seraient plus solides ; Godin estime qu'il faudrait 1,5 kg de cuivre de plus pour 100 boules et déclare qu'il est prêt à payer le cuivre supplémentaire pour la réalisation de 1 000 ou 2 000 boules.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Nottellet, 3 octobre 1849
Godin remet à Nottellet frères une facture de 346 F et l'avis qu'il émet un mandat de 339 F à échéance du 20 octobre 1849, compte tenu d'une remise de 2 %.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux phalanstériens, 3 octobre 1849
Godin appelle l'attention de son correspondant sur l'appel de Considerant en exil paru dans le Bulletin phalanstérien n° 11 relatif au capital des sociétés créées en 1840 et 1843 pour la propagation et la réalisation de la théorie de Fourier et la publication de la Démocratie pacifique. Godin précise qu'il écrit à la demande de Victor Considerant qui lui a adressé une lettre à ce sujet depuis son exil [le 27 septembre 1849]. Godin fait le constat que les phalanstériens sont isolés et négligent d'apporter leur soutien à l'École sociétaire. Il encourage son correspondant à éveiller l'intérêt des phalanstériens de sa connaissance : « Est-ce se tromper de croire par exemple qu'il y a maintenant en France plus de six mille personnes ayant compris que la Théorie de Fourrier (sic) contient les moyens de salut du monde, et que ces personnes sont en état de faire quelque sacrifice pour la propagation de cette théorie ? Est-ce se tromper de croire que chacune d'elles pourrait verser cent francs en moyenne dans ce but ? » Godin pense qu'il est possible de réunir 600 000 voire 300 000 F : « C'est à ce prix que nous sommes peut-être à la veille de la réalisation et que nous pouvons ménager à l'humanité la voie de la terre promise.½ Il proclame que l'avènement du régime d'association intégrale préservera l'humanité de l'anarchie sociale et des révolutions. Godin informe son correspondant qu'il écrit également aux phalanstériens du département ; il souhaite que soient sollicitées les « personnes sympathiques à nos idées dans le cercle le plus étendu possible », au-delà du groupe des phalanstériens actifs.
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