Godin avertit Cantagrel que rien n'est arrêté pour son voyage à Paris. Il expose à Cantagrel sa difficulté à recruter des personnes qui comprennent le but du Familistère, difficulté sur laquelle le départ de Vigerie a mis l'accent. Godin se demande par quel moyen il pourrait trouver un économe du Familistère. Il regrette qu'il n'y ait pas d'organe de presse s'occupant des questions sociales ou de l'association du capital et du travail dans lesquels il pourrait faire paraître une annonce ; il envisage d'aller à Paris pour examiner la possibilité de faire paraître des articles dans les journaux des sociétés coopératives. Il informe Cantagrel qu'il ne fonde plus d'espoir dans Charles Alfred d'Inville et qu'il cherche des personnes dévouées à une idée supérieure à celle de leurs intérêts. Il demande à Cantagrel de lui communiquer le nom des organes de publicité qui s'occupent des questions qui intéressent les hommes qu'il lui faut.