Par ce courrier, Marie Moret envoie, au nom de Godin, un exemplaire de son ouvrage Le gouvernement ainsi que 5 exemplaires de la brochure Mutualité nationale. Elle en profite pour transmettre en papiers d'affaires « le compte-rendu de ce livre ». Son correspondant avait favorablement évoqué le Familistère et son fondateur dans les colonnes du journal qu'il dirige, Marie Moret espère donc que son journal [Le Courrier de l'Aisne, Laon, 1865-] pourra se faire le porte-voix des idées envoyées dans la brochure et l'ouvrage.