FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Lesur que sa lettre est arrivée trop tard et qu'il ne pourra s'occuper de la question qu'à la session d'août [du Conseil général de l'Aisne].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin écrit à Fauvety qu'il publierait volontiers son compte-rendu du livre de Nus, Choses de l'autre monde. Il l'informe que le nombre d'abonnés au journal est tombé à 250 en avril, mais qu'il peut tout dire à ce sujet, sans ménager le public « qui sait toujours non seulement nous deviner, mais aller même au-delà de ce qu'admet la raison des penseurs ». Il annonce à Fauvety que la publication des statuts de l'association du Familistère doit être le point de départ d'une phase nouvelle pour Le Devoir, qui doit servir à établir les bases pratiques de la morale dans l'humanité. « L'histoire prouve qu'il ne suffit même pas que les hommes aient acquis comme nous la connaissance certaine de la vie d'outre-tombe pour être véritablement fixés sur ce qui constitue le vrai bien dans l'humanité. Il me semble qu'il appartient à notre époque non seulement de déterminer les principes du bien, mais d'en réaliser l'application dans les faits de la vie individuelle et surtout sociale. » Pour accomplir cette œuvre, explique Godin, il cherche à recruter de nouveaux collaborateurs et pense transformer son journal en revue. Il lui demande son avis à cet égard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Glaser de Willebrord qu'il ne peut pas donner un emploi à son protégé Eccarius surtout s'il ne sait pas suffisamment le français. Il lui explique que le journal Le Devoir n'est pas un journal de propagande d'idées générales, mais qu'il a été fondé pour une œuvre toute spéciale, qu'il entre dans une phase nouvelle depuis la publication des statuts de l'association du Familistère et qu'il doit maintenant servir à établir les bases de la morale pratique dans l'humanité. « L'histoire prouve qu'il ne suffit pas que les hommes aient acquis, même comme nous, la connaissance certaine de la vie d'outre-tombe, pour être véritablement fixés sur ce qui constitue le vrai bien. Il me semble qu'il appartient à notre époque non seulement de déterminer les principes du bien, mais d'en réaliser l'application dans les faits de la vie individuelle et surtout sociale. » Pour accomplir cette œuvre, explique Godin, il lui faut des concours, mais il ne voit pas comment Eccarius pourrait y prendre part. Il précise qu'il a déjà un correspondant à Londres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin choisit une carte de Grande-Bretagne dans le catalogue de la maison Edward Stanford. Il lui envoie un chèque de 3 livres sterling et lui demande l'envoi de la carte.

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