Godin demande à Lasserie s'il peut voyager dans l'Ouest pour les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Godin annonce à Grebel qu'il a terminé le brevet sur le moulage mécanique et qu'il est satisfait du travail qu'il a fait. Il lui adresse la description et les dessins pour faire les copies du brevet et le compléter par des dessins de malaxeurs, de traction des wagons et de transport des moules. Il réclame que la plus grande exactitude soit mise à la réalisation des copies. Il regrette de n'avoir pu s'inspirer du brevet de juillet 1870 sur les formatrices et demande qu'Émile prenne avec lui la description de ce brevet quand il viendra à Versailles. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur l'évaluation des brevets et la comparaison des foyers en fonte et des foyers en terre réfractaire.

Godin accuse réception de la lettre de Girardot du 26 juin 1873 et le remercie de ses réflexions au sujet de la remise [accordée aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire]. Sur les marchandises restées dans le magasin de Girardot : Godin fait valoir que ce dernier les a achetées dans des bonnes conditions au regard de l'augmentation de prix des marchandises. Il ne donne pas une suite favorable à la demande d'emprunt faite par Girardot.

Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 1er juillet 1873 et de la copie de la lettre qu'il a écrite à Cresson. Godin s'en remet à Tisserant pour le choix d'un avoué à Paris. Sur l'expertise.