Jean-Baptiste André Godin répond à la sollicitation de son frère, qui lui demande s'il veut racheter des marchandises et des matières premières de sa fonderie : il veut bien reprendre les matières premières et vendre à son profit les marchandises fabriquées. Il lui signale qu'il n'a pas répondu à sa précédente lettre car il ne le devait pas : « Il est des cas dans la vie où les explications sont inutiles. »