Godin attire l'attention de Martin Nadaud sur une proposition de loi sur la mutualité nationale qu'il compte soumettre à la Chambre des députés. Il expose à Nadaud que les projets actuels sur les caisses de retraite et de secours mutuels « laissent de côté, au point de vue de l'intérêt social, la partie la plus intéressante de la population, celle qui manque de toute ressource et ne peut faire d'économie », il lui envoie les épreuves de la brochure Mutualité nationale et lui demande son aide pour présenter sa proposition de loi à la Chambre.