Sur les patentes anglaises de Godin. Godin indique à monsieur de Fontaine-Moreau qu'il est d'accord avec lui sur ce qu'il convient de faire pour conserver ses droits en Angleterre. Il l'avertit que Cantagrel va soumettre à son examen un point délicat de sa demande de patente pour le procédé d'émaillage par voie sèche : la description du procédé d'émaillage est celle que cite Godin dans sa lettre à Cantagrel du 30 janvier 1865.