FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Maistre qu'il reçoit avec plaisir ses articles qui sont dans l'esprit du journal Le Devoir. Il l'informe qu'il n'a pas souhaité publier les articles intitulés « Détachés du journal d'une jeune anglaise » dans l'attente d'avoir connaissance de l'ensemble du travail, mais lui annonce que la publication en commencera prochainement. Godin exprime à Maistre son regret qu'il n'ait pas indiqué dans son article « Un petit document » la source de ses renseignements ; il lui demande de l'éclairer sur le sujet avant la publication. Il lui signale qu'il devra s'entendre avec lui sur sa rémunération si sa collaboration au Devoir se poursuit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Auguste Fabre du 31 mars 1879. Godin relève leur long silence réciproque. Il confie à Fabre son espoir d'avoir près de lui de chauds partisans de la coopération ou même de l'association comme l'est Auguste Fabre. Fabre a écrit à Massoulard qu'il tente de créer à Nîmes une société coopérative : Godin le félicite. Il comprend les difficultés de Fabre à contracter des abonnements au journal Le Devoir dont la première année l'a déçu. Il lui explique que les statuts de l'association du Familistère sont terminés et promet de lui en envoyer un exemplaire quand ils seront imprimés. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin n'est pas opposé à l'installation d'un pharmacien au Familistère, mais il ne connaît pas Vénard et ne peut savoir s'il peut remplir d'autres fonctions comme il l'a proposé. Godin indique à Vénard qu'il existe trois pharmaciens dans la ville de Guise du fait que la région compte 22 000 habitants, et que le Familistère se fournit alternativement chez chacun d'eux. Il ajoute qu'il existe trois médecins à Guise qui viennent tous au Familistère et prescrivent des médicaments.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Thiaudière qu'il publierait volontiers ses articles sur le Salon dans le journal Le Devoir s'il faisait ressortir que l'art doit désormais être au service du progrès social, alors que l'art du passé célébrait la guerre et le meurtre. Godin indique à Thiaudière qu'il serait heureux que ses ouvrages fassent partie de la bibliothèque qu'il projette de fonder. Sur l'ouverture du bureau de Paris du Devoir : Godin mentionne le cas d'un personne qui n'a pu payer son abonnement alors qu'il était entendu qu'il était possible de le faire toute la journée.
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