Godin répond à un candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Alfred Boureau d'éclaircir un point de sa candidature : Boureau a quitté Varigny, car il y était accablé de travail ; cependant Godin prévient que l'emploi à pourvoir nécessite « des soins attentifs et soutenus joints à une participation active en tout ce qui touche les rapports commerciaux, la comptabilité et à ce que la fabrication a de commun avec eux pour l'achat des matières premières, le soin des débouchés et de la vente, toutes choses dans lesquelles viennent prendre place la correspondance, la direction des voyages, les renseignements sur les produits similaires qui peuvent surgir au dehors, l'envoi en temps opportun des circulaires et des tarifs annuels, enfin les vue d'ordre et d'économie générale ». Godin précise que le travail dans les bureaux se fait de 7 à 8 heures du matin jusqu'à 7 heures du soir, voire davantage au moment de presse des expéditions. Godin mentionne la présence de 200 ouvriers à Guise. Il demande à Boureau ce que la description du poste lui inspire.