Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin répond à une lettre d'Oudin Leclerc qui lui reproche de l'avoir blessé et d'avoir commis une maladresse en écrivant au président du tribunal de Vervins. Godin assure Oudin-Leclère de sa confiance, et lui explique qu'il se plaint que des circonstances fortuites favorisent Degon et que celui-ci utilise les services d'un avoué qui a un parent intéressé dans l'affaire.