FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant qu'Esther Lemaire est décédée au mois d'août 1881 quand il se trouvait à Lausanne : elle aurait imposé à Émile Godin de se marier dans les six mois sous peine de perdre des droits ; Émile Godin souhaite obtenir son consentement pour se marier, consentement qu’il veut bien lui accorder à la condition d’un règlement à l’amiable d’une affaire de 7 ou 8 hectares de terres de l’association du Familistère qu’il détient indûment comme fermier. Il l’informe également qu’il a réussi à obtenir quittance de l’argent qu’il devait à son fils. Il signale à Tisserant qu’il a réglé son abonnement au journal Le Devoir pour 1880.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 20 mai 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant qu'Aimé Girard et Ferdinand Barbedienne ont accepté d'être experts ; il regrette que l'expertise doive traîner en longueur car Girard et Barbedienne vont se rendre à l'Exposition universelle de Vienne. Il informe également Tisserant que Charles Dietz-Monnin n'accepte pas la fonction d'expert : Godin pense que les relations de Dietz-Monnin avec Viellard-Migeon, associé de Boucher et président d'une union des usines dont fait partie la maison Japy dont il est administrateur, lui interdisent d'être expert dans l'affaire. Godin demande à Tisserant s'il doit lui envoyer une nouvelle liste de chef d'industrie et lui indique que Dietz-Monnin a mentionné Guignet, répétiteur à l'École polytechnique, très compétent sur la question des émaux. Godin signale enfin que Ferdinand Barbedienne est très lié à monsieur Sénart et qu'il était déjà informé de l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux que Tisserant ait recouvré la santé. Tisserant lui propose de se charger de ses procès : Godin ne voit pas comme cela pourrait se passer en pratique car Tisserant réside à Nancy, ce qui nécessiterait d'entretenir avec lui une correspondance chronophage, mais il est prêt à en discuter avec Tisserant ; il lui demande quel rôle il pourrait jouer à côté de ses avoués locaux et quels honoraires il demanderait. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin explique à Tisserant que Grebel lui a appris que Senart, l'avocat de Boucher, se refuse à plaider le 14 décembre 1876 dans le procès en contrefaçon que celui-ci lui a intenté il y a deux ans ; Godin pense que son avocat Cresson ne pourra refuser le report ; il demande son avis à Tisserant sur la question. Il l'informe qu'il a transmis son souvenir à monsieur Tenant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin pense que Senart, dont la femme vient de mourir, ne viendra pas plaider à Vervins le 14 décembre 1876. Il demande ce qui pourrait se passer si son avocat plaide seul ce jour-là.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 6 juin 1872
Godin informe Larue que Cresson n'a pu obtenir de rendez-vous avec Sénart et qu'il accepte toute fixation du tribunal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin apprend d'Alphonse Grebel de retour à Guise que Boucher prétend que Cresson demande lui-même en faveur de maître Senart la remise des plaidoiries fixées au 14 décembre 1876. Godin estime que c'est à son adversaire de faire la demande de remise au tribunal de Vervins et que Cresson devrait demander au tribunal la fixation définitive d'une audience la plus rapprochée possible au vu des lenteurs que Boucher et Cie fait subir au procès.

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