Marie Moret remercie Pouliquen pour des partitions de musique qu'il voudra bien envoyer. Elle explique que la collection de partitions du Familistère est minime et qu'y est suivie la méthode Wilhem, faute de professeurs pour la méthode Chevé, et ajoute que les écoles bénéficient du talent de certains employés de l'usine. Elle remercie Pouliquen pour son envoi des chants d'Eugène Nus qui ont été mis en usage dans les écoles. Elle lui demande de faire l'envoi des morceaux de musique à Émile Godin à Guise : « c'est lui qui en l'absence de son père et en la mienne se charge de l'inspection générale des écoles ».