Sur la transformation des valeurs Suez et Panama de Marie Moret en titres nominatifs.

Envoi des récépissés de dépôts des valeurs des compagnies de Panama, de Suez et de la rente italienne et demande à la banque d'en toucher les arrérages.

Envoi d'un certificat d'actions Panama pour que la banque en perçoive les arrérages.

Accuse réception du certificat d'actions Panama dont les arrérages ont été encaissés par la banque.

Retourne à Offroy et Cie le certificat de dépôt de 340 obligations Suez 3 %, la déclaration et la feuille de retrait revêtues de sa signature et de celle de Godin pour encaisser les 7 obligations sorties.

Réception du courrier envoyé la veille par Offroy et Cie et renvoi d'un récépissé. Marie Moret a reçu une notice d'information concernant la souscription, désormais close, pour la construction du canal maritime de Manchester. Elle souhaite savoir s'il existe donc un marché des valeurs de ce canal, comme il en existe pour le canal de Panama ou celui de Corinthe, et comment suivre le mouvement de celui-ci. Marie Moret cite un journal financier selon lequel le gouvernement fédéral suisse émettrait un emprunt à 3,5 % ; elle souhaite savoir s'il existe des impôts sur ces valeurs suisses, elle et Émilie Dallet veulent souscrire à cet emprunt ; elle souhaite enfin savoir quelles seront les formalités de souscription d'une femme mariée sous le régime de la séparation de biens.

Marie Moret confirme son télégramme expédié le même jour demandant à Offroy et Cie d'acheter 100 obligations Panama 4 % au prix maximum de 217 F. Dans le post-scriptum, elle indique qu'ils peuvent acheter les obligations Panama jusqu'à 220 F.

Réception du certificat d'inscription de 110 obligations Panama 4 % au nom de madame Dallet. Elle souhaite transférer les titres de l'emprunt fédéral d'une valeur de 3 000 F au nom d'Émilie Dallet à la Banque cantonale de Bern, dirigée par François Henzi, plutôt qu'au comptoir de la Banque fédérale à Genève.

Envoi d'un certificat d'inscription nominative de 170 actions Panama. Demande qu'Offroy et Cie fasse corriger par la Compagnie de Panama une erreur d'inscription dans les numéros d'actions.

Marie Moret renvoie en son nom et en celui de Godin un pouvoir et deux cartes d'admission à l'assemblée générale des actionnaires de la Compagnie de Panama.

Sur une demande de prêt de 35 000 F de la part d'Anseele. Marie Moret regrette que cette demande n'ait pas été faite du vivant de Godin, qui avait des capitaux disponibles. Elle lui explique sa situation financière et celle de la Société du Familistère : Godin a légué la moitié de sa fortune à la Société du Familistère, plus 200 000 F destinés à ses héritiers, dont 300 000 F en titres dans la Société destinés à elle-même ; après règlement de la succession, la Société du Familistère disposera de 2 millions dont une partie en espèces mais qui lui est indispensable comme fonds de roulement. Elle regrette de ne pouvoir personnellement réunir des capitaux pour satisfaire la demande d'Anseele.

Godin envoie au directeur du Comptoir d'escompte de Paris sa souscription à la Société du canal interocéanique.

Godin annonce à Gilliot que le journal n'a pu publier son travail arrivé au moment où l'affaire de l'isthme de Panama, dont il était un des souscripteurs, était abandonnée. Il lui propose de conserver ce travail dont la partie sur le canal interocéanique pourrait être publié quand l'opinion publique sera à nouveau saisie de la question.

Godin présente ses griefs à l'égard de la banque qui n'a pas traité sa souscription à la Compagnie universelle du canal interocéanique de Panama.

Godin souscrit à des obligations de la Compagnie du canal interocéanique de Panama en son nom et au nom de Marie Moret, dont les versements sont à débiter du compte Godin et Cie.

Sur la souscription de Godin et de Marie Moret à la Compagnie du canal interocéanique de Panama.

Sur la régularisation d'actions de la Compagnie du canal interocéanique de Panama détenues par Godin.

Sur des actions détenues par Godin dans la Compagnie du canal de Panama.

Sur des actions du canal de Panama. Sur la correspondance adressée à lui-même, à Émile Godin et à la Société du Familistère Godin et Cie.

Sur des actions du canal de Panama appartenant à Godin.

Sur des actions du canal de Panama.

Sur des actions de la Compagnie du canal de Panama détenues par Godin.

Sur des actions de la Compagnie du canal de Panama détenues par Godin.

Godin informe Offroy et Cie que la Société du Familistère vient de verser 300 000 F sur son compte personnel chez eux. Il leur demande d'acheter des actions du canal de Panama pour ce montant.

Godin accuse réception des lettres d'Offroy et Cie des 15, 16 et 17 septembre 1886 relatives à son achat d'actions du canal de Panama. Sur ses actions du canal de Panama.

Sur le compte de Godin chez Offroy et Cie et sur ses actions du canal de Panama.

Godin répond à la lettre d'Offroy et Cie du 26 octobre 1886. Sur les actions de Godin dans la Compagnie du canal de Panama : sur la conversion de titres au porteur en titres nominatifs.

Godin accuse réception de la lettre d'Offroy et Cie du 6 décembre 1886. Sur la conversion en valeurs nominatives de 765 actions de la Compagnie du canal de Panama, et l'encaissement d'arrérages d'autres actions du canal de Panama.

Sur les actions de la Compagnie du canal de Panama de Godin. Il informe le président-directeur de la compagnie que ni lui ni Marie Moret ne pourront assister à l'assemblée générale du 21 juillet ; il lui envoie un pouvoir et lui demande d'adresser un pouvoir à Marie Moret, qui possède 170 actions et a droit à 5 voix.

Godin accuse réception des intérêts de ses 769 actions de la Compagnie du canal de Panama.

Sur le compte de Godin. Godin informe Offroy et Cie qu'il souscrit 23 obligations de la Compagnie du canal de Panama à 432,30 F chacune. Il demande à la banque de verser 9 942 F à la Compagnie.

Godin informe la Compagnie du canal de Panama qu'il souscrit 23 obligations de son prochain emprunt et qu'il a demandé à Offroy et Cie de lui verser la montant de la souscription.

Godin informe Ferdinand de Lesseps qu'il reçoit des articles de presse hostiles à la Compagnie du canal de Panama parus dans Le Conseiller des actionnaires de Suez et de Panama et dans L'Économiste français. Godin soupçonne que ces envois sont faits par des employés infidèles de la Compagnie. « Je me suis intéressé à l'œuvre grandiose que vous avez entreprise, moins par spéculation que par sympathie pour le but que vous poursuivez. » Il lui demande des éclaircissements sur ces manœuvres que n'évoque pas le Bulletin du canal interocéanique.

Godin informe Offroy et Cie que les obligations nouvellement souscrites auprès de la Compagnie du canal de Panama doivent être portées à son nom.

Godin accuse réception de la lettre d'Offroy du 3 septembre 1887 sur les obligations de la Compagnie du canal de Panama.

Gestion des obligations de la Compagnie du canal de Panama possédées par Godin.

Gestion des obligations de la Compagnie du canal de Panama possédées par Godin.

Gestion des obligations de la Compagnie du canal de Panama possédées par Godin.

Godin envoie à Offroy et Cie une lettre de la Société du Familistère ordonnant le virement de 300 000 F sur son compte personnel. Il demande à Offroy et Cie d'acheter des actions et des obligations de la Compagnie du canal de Panama pour deux fois 100 000 F.

Sur la gestion et l'achat d'obligations et d'actions de la Compagnie du canal de Panama.

Sur l'achat et la gestion d'actions et d'obligations de la Compagnie du canal de Panama.

Sur l'achat et la gestion d'actions et d'obligations de la Compagnie du canal de Panama.

Sur la gestion d'obligations de la Compagnie du canal de Panama.

Sur l'achat et la gestion d'obligations de la Compagnie du canal de Panama.

Sur l'achat et la gestion d'obligations de la Compagnie du canal de Panama.

Sur la gestion d'obligations de la Compagnie du canal de Panama.

Sur la gestion d'actions de la Compagnie du canal de Panama.

Sur la gestion d'obligations de la Compagnie du canal de Panama.